vendredi 28 octobre 2005

Hélas! Ce fut un beau jour...


L'amour m'accompagne, avec ma bohème. Je suis seul, rêveur, avec moi même et ton amour.
c'était ma jeunesse, maintenant c'est ma détresse.
J'ai fait un saut, d'un sot.
Je suis attaché à l'intouchable.
Je fais tout pour rien.
Je danse comme un fou, je pleure comme un idiot, je dors comme un débile malheureux.
Ma vie perd son goût peu à peu, mes pensées prennent la relève.
J'écris, je chante, et l'amour me fuit.
Mes souffrances excèdent ma puissance.
Hélas! Ce fut un beau jour de te rencontrer!

Collé

Un courant vif me couvre à peine que ton visage me sourit, une sorte de magie, d'effet surnaturel que je me sens l'unique à en être la victime. Toujours la même réaction, indifférence, je hais l'indifférence. Je hais ce silence qui me voile,...,jusqu'à quand? Une incertitude? Je hais l'incertitude, l'incertitude qui me déprime, une dépression infinie, illimitée, une cruauté diabolique? Pourquoi cette confusion entre le mal et le reste... et le bien? Une incertitude? Quelle incertitude? Je préfère être à l'autre bout de l'autre monde, je hais ce monde, et l'autre monde. J'ai envie de tout, de tout faire, de tout dire, de tout dévoiler. J'ai envie d'exploser pour une fois,...

Tu me regardes, tu me vois.
Vois-tu autres choses?
Vois-tu au moin l'ombre de mon âme à tes côtés?
... l'image de ton visage dans mes profondeurs?
... le reflet de mon coeur dans mes yeux?
Peux-tu voir un être sans être, un quelqu'un sans pouvoir, un garçon désespéré, perdu, confus, morose?!
Peux-tu sentir ma mort? Sentir cet esprit dégoûté par la vie après toi, déjà, avant de l'avoir vécu!?

J'ai peur, une envie pas comme les autres me trahit. Un noir.
Elle me rejoind à chaque fois qu'elle sente mes pensées attristantes.

Tu sais? Je sais au moin une chose, tu l'ignore, mais elle est en toi. Je continuerai à t'aimer, malgré moi, pour le reste de ma vie.


J'écris encore, ...encore, sur toi,... pour toi,... à cause de toi...
Je t'aime.

Mes yeux sont rouges

Mes yeux me font mal!
Ils sont rouges!
ça saigne?!
Putain, je pleure.

dimanche 16 octobre 2005

Je ...

Je suis l'esclave d'un inconnu tombé du ciel.
Je suis la bête d'un méchant dresseur.
Je suis la victime d'un féroce
Je suis la cible d'un éclair.
Je suis le reflet du noir.
Je suis un perdu écroulé.
Je suis la feuille grise d'un érable.
Je suis la démeure de l'adversité.
Je suis le nuage racornit.
Je suis un néant étouffé.
Je le suis parce que je t'aime, encore, et rien au monde ne pourra m'empêcher à être ce que je suis.
Je suis le déterminé à se saccrifier juste pour te voir.
Je consomme ce qui me reste d'espoir à vivre sans toi.
Je tue la convoitise qui me tue.
Je sauve mes émotions, ma sensation, mes sentiments lorsque je te vois.
Je garde l'effet de ta main sur la mienne.
Je perds l'espoire de gagner, mais j'ai pu remplir un vide irremplissable, tuer un mal de solitude, ruiner ma déficience.

lundi 10 octobre 2005

je préfère...


Je me précipite pour te rejoindre dans mes rêvasseries, J'attends ce moment depuis le matin.
Je fais tout et rien, je me mets bien près de toi, je m'allonge, tu t'allonges, je te vois, je te ressens, je me vêtis de ton corps, de ta tendresse, de ta douceur, de la velouté de ta peau, de la sensualuté de tes cheveux, de la senteur de ton parfum.
Tu me donnes la joie et la souffrance de ma vie, l'amour et la haîne, le courage et le désespoire, l'aise et l'angoisse, le rêve et le cauchemar, le paradis et l'enfer, ma vie et ma mort.
J'ignore ce que celà veut dire, mais je le sens très fort, j'ignore si je devrais t'aimer ou t'adorer, si je devrais te regarder ou te contempler, sinon, je préfère partir.

vendredi 7 octobre 2005

Pourquoi me plais-tu ?

Ton souvenir m'est le plus cher, je me sens mieux à chaque fois que je te trouve dans mes pensées, même si je n'ai que de me souvenir de toi. Je suis perdu dans mes pensées à cause de toi, ça je t'en veudrais pendant toute ma vie. Mes yeux s'ouvrent avec ton image et se ferment avec. Au lycée, c'est pire, beaucoup plus dur à supporter. Mais cette peine me fait du bien, au moin je te vois, je t'admire, je m'émerveille de te discerner parmi des centaines d'autres. C'est mon Vrai enthousiasme! A peine repéré, je me sens projeté vers toi, assis à tes côtés, près de toi, rien que toi et moi, je voltige, alors, dans mes exaltations.

Je ne sais pas si tu me distingue ou pas, mais moi je perçois nettement tes yeux clairs qui me regardent de loin comme tous les autres! J'aime passer le reste de ma journée, à peine débutée, te regarder, rien que te regarder, j'ai envi de m'extasier sur toi encore plus, te regarder me donne de la vigueur, de la vitalité. J'analyse le moindre de tes geste, j'essaie de saisir ta personne, de sentir tes pensées et de comprendre, surtout, ce qu'il me plait chez toi!

lundi 3 octobre 2005

Ma cause, mon objectif














Dans cette vie, je ne tiens qu'à deux choses: la cause de ma vie et son object...
Je regarde, la nuit, le ciel noir, je distingue facilement chaque point, chaque étoile, chaque merveille parmi des millions dispersées dans un monde si magnifique, si vaste et éternel. Je vois la cause de ma vie assise pas loin de son objectif. La première sourit, elle me demande:"est-ce vraiment mon but?" je lui réponds:"Ce n'est pas Ton but! C'est juste ta moitié." Après une heure, elle me demande:"C'est quoi ma moitié?"-"Ta moitié n'est autre que mon but, mon objectif à moi, la raison pour la quelle tu es encore avec moi"

Un jour, deus jours, trois, quatre ... je songe. Je me sens très loin de la réalité, trop élloigné de la Vie. Je me trouve attaché à un fil fragile qui me relie à ma vie, à sa cause. Mon objectif est à l'autre bout du fil, il m'appelle avec le même ton, pitoyable et diabolique. Il m'appelle, il me propose de venir à ses côtés, j'y trouverai mon aise éternelle, et je devrais y retrouver quelqu'un à qui je tiens plus que tout dans Le Monde Poussiéreux...
C'était la Mort,