mercredi 14 mars 2007

J’ai réussit à l’oublié, enfin… je pense ! Je ne l’ai pas vu depuis trois longues semaines. La dernière fois où je l’ai vu, il était à des dizaines de mètres de moi ! C’était très dur comme moment, le fait de le voir sans pourvoir apercevoir son visage, son regard me manque plus que tout en ce moment ! Et je me dis que j’ai pu l’oublié ! Je ne le saurais jamais, songe-je. Je ne suis pas assez fort pour me contrôler. La faiblesse est la tumeur qui se génère dans mon cœur. Elle est ma peur et ma frayeur. La beauté de ces dessins me grise. Et je croyais à une loyauté, celle d’une empreinte… Belles créatures ! Magiques, d’un air qui me fait perdre la tête. Ma patience se nourrit de mes larmes, les quelques que je verse lourdement au décompte de mon cœur.

Je ne sais plus où je suis avec l’histoire de ma vie que je me racontais depuis toujours. Cette empreinte, désormais grêlée en moi, m’appelle vers ma grisaille ! Fané est l’espoir d’une existence et moroses ces mots “en prose”. Mélancolie infinie que je ne peux justifier. J’ai peur de ce qui me réserve cet avenir, damné ! Pourtant l’amour me contredit, pieusement, m’appelant, pense-t-il, à mon secours.