Difficile d'y croire, d'y mettre fin, de l'accepter. Je la nie et je la refuse. Quand ton image confuse déchire ma réalité, exhibe mon cœur, mélange mes larmes et ma haine, obsède mes nuits et diffuse mes peines ! Misérable existence caches-tu mon bonheur ? Destiné lamentable, le carrefour des confusions. Quel naïf j’étais ! Aurais-tu une forme humaine, l’haleine de la nature et du sang dans tes veines ? Toi ! Créature de l’amour et de la souffrance te nourris-tu de mes cries silencieux et de mes maux incendiés ? J’étais, jadis ton heureuse proie. Aujourd’hui, je suis le reste de ton repas ! Je ne trouve pas la force de m’enterrer …
lundi 27 avril 2009
Inscription à :
Articles (Atom)