Par simple instinct, je sens en moi l'envie de tout gacher, de mettre fin à toutes mes souffrances et de faire appel à l'ange, qui était, jadis, mon unique remède. Or, hélas! L'amour est toujours là, en train de me faire payer ce que j'ignore avoir comit. La force et la puissance perdues ne sont que les sympthômes de ce mal stupide. Oublirai-je ce que tu m'avais fait subir ? Ton indifférence demeure, sans espoire, cette balle qui traverse lentement mon coeur, déjà affaibli par eux; victime d'une âme sensible. Mais je n'ose, cependant, laisser le sang couler sur mon torse, de peur qu'ils ne me demandent la cause de la blessure!
Et c'est comme ça, toujours. Rien ne change, pas la moindre chose! Peu-être, dirais-je, un désir encore plus dangereux, qui me fait mal et "plaisir". Le paradoxe de mes sentiments, de mes émotions ne sont qu'à l'origine d'un être qui, je pense, est loin de s'en rendre compte. Cette être, figure-toi, est dans mes rêves, au sommeil; dans mes yeux, lorsque je me réveille.
mardi 31 janvier 2006
Par simple instinct
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