samedi 10 juin 2006

Mirage, ce que je pense, un beau mirage qui me fait goûter à ce paradis dont je rêve, au moins. J'en suis conscient et je ne veux pas qu’il s’en aille ce mirage, j'y tiens, il est mon secours en attendant le crépuscule.
L'image des oiseaux - à la fin de la journée en pleine forme et en pleine joie; heureux de leur destin en plein ciel et plein d'amis - nourrisse mes larmes! Et j'ai "encore fait ce rêve étrange d'une" personne douce comme l'ange d'un frais matin en paix. Il m'agasse, me rappellant ce dont j'ai envie là tout de suite et perturbant mes pensées.
Et la journée passe, "ainsi soit-elle".

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