vendredi 28 octobre 2005

Collé

Un courant vif me couvre à peine que ton visage me sourit, une sorte de magie, d'effet surnaturel que je me sens l'unique à en être la victime. Toujours la même réaction, indifférence, je hais l'indifférence. Je hais ce silence qui me voile,...,jusqu'à quand? Une incertitude? Je hais l'incertitude, l'incertitude qui me déprime, une dépression infinie, illimitée, une cruauté diabolique? Pourquoi cette confusion entre le mal et le reste... et le bien? Une incertitude? Quelle incertitude? Je préfère être à l'autre bout de l'autre monde, je hais ce monde, et l'autre monde. J'ai envie de tout, de tout faire, de tout dire, de tout dévoiler. J'ai envie d'exploser pour une fois,...

Tu me regardes, tu me vois.
Vois-tu autres choses?
Vois-tu au moin l'ombre de mon âme à tes côtés?
... l'image de ton visage dans mes profondeurs?
... le reflet de mon coeur dans mes yeux?
Peux-tu voir un être sans être, un quelqu'un sans pouvoir, un garçon désespéré, perdu, confus, morose?!
Peux-tu sentir ma mort? Sentir cet esprit dégoûté par la vie après toi, déjà, avant de l'avoir vécu!?

J'ai peur, une envie pas comme les autres me trahit. Un noir.
Elle me rejoind à chaque fois qu'elle sente mes pensées attristantes.

Tu sais? Je sais au moin une chose, tu l'ignore, mais elle est en toi. Je continuerai à t'aimer, malgré moi, pour le reste de ma vie.


J'écris encore, ...encore, sur toi,... pour toi,... à cause de toi...
Je t'aime.

3 commentaires:

Roberto Iza Valdés a dit…
Ce commentaire a été supprimé par un administrateur du blog.
Roberto Iza Valdés a dit…
Ce commentaire a été supprimé par un administrateur du blog.
Roberto Iza Valdés a dit…
Ce commentaire a été supprimé par l'auteur.