mardi 29 août 2006

Encore ...


Véritable labyrinthe la vie; on se croit à peine suivre la bonne voie qu'un autre plus ambigu, paraît-il, nous détourne !

J'étais comme d'habitude, revenu chez moi à vélo, que j'ai rencontré la fin de mon bon chemin que je venais juste de le savourer...

Il était beau...

Des regards et des regards étaient échangés inconsciemment. J'ai faillit sourire à cette instant que je croyais encore loin pour être vécu à mon âge, mais le doute et le courage n'étaient pas de bons amis. Si la faiblesse qui m'a toujours habité infecte ma confiance, l'instant féerique de cette rencontre particulière m'empêchait au moins de reculer, gagnant ainsi mon assurance et mon credo. Il était comme un dieu devant moi, m'appelant à mon destin, je l'écoutais, j'ai obéit à ses ordres, il m'appelle, il m'appelle...

Je ne sentais que mon cœur, mes jambes ne m'écoutaient plus, m'a tête non plus. J'étais dépourvu de tous mes sens; on vient de m’enlever mon corps et mon âme. J'ai pu enfin sentir ma tête bruler, mes jambes troubler et mon cœur battre plus fort que jamais.

Je le regardais de plus près, et je lui ai parlé.

vendredi 25 août 2006

Réponse pour "Sup'Comian boy"


Tu vois les choses tellement simples parce que tu es peut-être hétéro, hétéro gay-friendly on va dire, mais si je me cache comme tu l’as bien dit, c'est qu'il y a une cause qui m'oblige à le faire, qui dans ce monde préfère le placard et rejette son jardin? La réponse est si simple qu'elle paraît évidente et banale, tout le monde essaie d'exister, tout le monde essaie de vivre. Mais ce que tu l'ignores peut-être c'est tout le monde n'est comme tout le monde.

J'ai pas choisi le silence, c'est lui qui me court après depuis le jour où j'ai découvert tout ce bordel, le jour où j'ai découvert qu'il existe du monde qui me hait au point de jouir en me regardant mourir lentement, car je n'ai pas "obéit" à leurs lois, à leur société et à la religion de chacun d'eux.

Comment pourrais-je me confier à quelqu'un qui est malgré moi un ennemi, comment attendre de quelqu'un de l'aide alors qu'il maudit mon existence.

J'ai trop de haine en moi que j'arrive à peine à écrire ces mots, si j'ai connu quelques hétéros tolérants c’est parce que j'avais de la chance, et pourtant j'en ai pas assez. Lorsque je pense à ma mère et à mon père qui rêvaient depuis toujours d'avoir de petits enfants de leurs fils bien aimé qui ont tout sacrifié pour qu'il grandisse sans difficulté et devienne un vrai homme comme son père. Cet homme j'aimerai le devenir un jour sans doute, mais il aura quelque chose de différent des autres hommes. Il aurait accepté de vivre la vie des autres pour être lui même un jour.

lundi 21 août 2006

"J'ai encore fais ce rêve étrange..."



J’ai déjà vécu ce moment ! un moment où je suis avec toi ; encastré dans ton corps.

Je savourais cette instant de merveilleuses sensations , surtout le moment où ma main quittait paisiblement ton visage pour me retrouver sur mon lit tout seul pendant la nuit.

Désespoir…

AH !!!

J’essaie d’attraper le sommeil pour retrouver mon amour angélique, me réfugier près de lui. Mais c’est trop tard ! Ah je me sens à l’envers !

Je passe tout le matin dans mon rêve. Je pense à cette personne que j’ai vue, et que j’ai tant désirée. Tu étais beau dans mon rêve, plus beau que je ne t’imaginais dans l’être dans la vraie vie. Et je t’embrassais si délicatement et amoureusement. Tu me désirais, tu me cherchais et tu m’as eu. Je t’ai eu.

Tu avais encore cette inquiétude que je détestais en toi, pourquoi tu me fais tant souffrir même en m’embrassant dans mes rêves ?!


jeudi 17 août 2006

Je t'entends me parler de cette façon protectrice. Je n’ai jamais senti ton absence ni ton silence… Tu es le seul qui m’écoutes, l’unique qui me comprends, le rare qui m’aimes.

Et moi ici, devant toi, tu me dois beaucoup, je sais, mais je pense que ta patience, ton amour et ton pardon sont bien présents, et ça me donne de l’espoir, de l’énergie et le goût de vivre.

J’ai de la chance je sais, de t’avoir pour confident parce que j’ai besoin de croire en quelqu’un, et là je t’ai choisi TOI pas d’autres, uniquement toi, ma confiance et ma croyance en toi sont illimitées.

Je continuerai à être ton fidèle quelques soient les conditions … mon Dieu.