vendredi 30 septembre 2005

Il l'ignore

Je m'allonge sur mon lit avec l'espoir de le voir devant mes yeux fermés.
Je voix son sourir et son allure s'éclairsir, la lumière le love, c'est irrésistible!
Il me sourit comme toujours, avec le même sourir. Un regard, puis un signal, un salut. Ca me rend mon âme, l'âme qu'il me prend chaque fois que je le quitte des yeux. Il me rend mon espoir et mon envis. Il me rend ma force et ma résistance. Il me rend mon être et ma personne, il me rend ma vie, il en fait une autre beaucoup plus belle, plus douce et tendre.
Il l'ignore.
Il ignore qu'il est la source de ma vie.
Le matin, il est la première chose que j'y songe - la nuit il démeure cette chose.
Il a réussit à me faire perdre la tête et le goût de la vie.
Ô ma vie! que seras-tu après lui? Un rien? oui je sais, il le faut!
Alors, j'attends. Je n'ai qu'à attendre ce jour où j'irai avec lui dans notre paradis, plutot le mien que le sien. Peut-être! L'incertitude me dérange, me déprime, elle me tue! l'angoisse m'écrase, et la peur me détruit.

mercredi 28 septembre 2005

J'ai soif

Une merveille, une étoile, un ange, ... , un dieu ?
De la douceur, de la tendresse, de l'affection, ... , de l'amour ?

Que devrais-je choisir pour te décrire ?!
C'est peu !

La lumière de tes yeux accompagne encore et encore ma mémoire, ton odeur mon nez, ta peau mon corps, ... , je ne peux vivre une seconde sans penser à toi, sans retrouver ces moments si délicieux que j'ai passés à tes côtés, sans sourir à peine que je trouve l'ombre de ton image devant mes yeux.

Mes amis me ragardent, je les regarde, je te regarde, je te contemple, comme un dieu au milieu de l'univers, rien ne vaut ta présence devant moi, rien ne vaut ce sourir que tu me "jète" de temps à autre, comme si j'étais ... quelqu'un,
j'aimerai savoir ce qui se passe dans ta tête, putain, m'aimes-tu? Je veux savoir, dis-le moi, je t'empris, pourquoi tu es si dur ? avec moi ! je suis près à mourir pour te prouver mon amour, rien de plus.
Je suis fou ? je sais.

jeudi 22 septembre 2005

J'ai réussit à perdre!

si j'aurai à décrire ma journée, le 22/09/2005, je dirai que c'est à la fois, ma journée la plus belle et la plus dure de toute l'année, pour ne pas dire de toute ma vie passée!
d'abord, j'ai réussit à déjeuner avec lui, ce n'etait qu'une courte demi-heure, mais elle était surtout une merveilleuse demi-heure, je n'ai réussit qu'à jeter quelques mots, comme ça, sans contexte, juste pour entendre sa vioix, une voix plus douce que la soie elle-même, une voix d'ange, peut-être, mais ce qui est sûr c'est qu'elle une voix magique, séduisante, même plus, cruelle. Elle m'avait conduit à l'interdit, à lui tout révéler, tout, d'un seul coup...!
j'ai choisit de jouer le tout pour le tout, et j'ai bien fait, ou presque, j'ai au moin pu voir son beau visage, son corps viril, et admirer son sourir ensorcelant. Il était gentil avec moi, mais je crois qu'il s'enfichait de ce que je ressens, putain.

samedi 17 septembre 2005

Chaque matin, devant le lycée

je me lève le matin avec la même pensée dans ma tête, le voir, lui parler.
je me prépare en supportant pésiblement la routine obligatoire du matin, de tous les matins.
Merde j'ai raté mon bus, c'est pas grave, y'en a un autre, et j'attends.
J'arrive, déjà en mauvaise humeur, y'a plein de monde, mais je ne vois personne, il n'est pas encore arrivé...
Mes amis me parlent, je fais semblant de les écouter, je ne suis pas avec eux, je suis avec une autre personne, moi-même, ils ignorent tout ce qui se passe dans ma tête qui est sur le point d'exploser à cause de lui, le con.
Souvent je me demande, pourquoi lui?

Ah, putain, il est là derrière moi, depuis quand ?
je ne l'ai pas vu arrivé, merde, je ne peux pas lui parler il est avec ses copins, c'est pas grave, je le vois, au moin.
Il est beau, j'ai envie de l'embrasser, de le mettre entre mes bras, de l'avoir pour moi tou seul. Je sais, c'est impossible, même si je sais qu'il est comme moi, gay.